Tiwiza, groupe indé à la fusion originale, fait le grand écart entre les sonorités amazigh (berbère), les influences de la musique noire américaine et l’énergie punk la plus authentique. Un son audacieux mêlant blues, rock et world, qui porte un message revendicatif, en trois langues (kabyle, arabe algérien et français), convoquant l’esprit de figures emblématiques telles que Lounès Matoub, Idir, Tinariwen, Gnawa Diffusion ou encore l’ONB.Groupe de scène avant tout, avec plus de 350 concerts à leur actif (France, Royaume-Uni, Allemagne, Portugal, Malte, Algérie, Maroc, Tunisie, Guinée…), ce combo toulousain investit la scène et l’occupe avec la complicité de son public, déployant une énergie débordante et un sens du partage transmissible. Tiwiza, c’est un véritable brûlot électrique, à l’énergie brute, poétique et engagée.
AmZik c’est à la base trois amis, Didine Kati, Nonor et Karim Belkadi, nés en Kabylie et exilés en France, qui se retrouvent au début des années 2000 pour créer une musique inspirée par les rythmes traditionnels de leur pays. Après un succès sur les réseaux sociaux, ils sortent, rejoints par d’autres instrumentistes de différents horizons musicaux, leur premier album « Asughu n Temzi », (Le cri de la jeunesse en 2016), suivi du single « Yemma-s n uɣrib », (La mère des exilés) en 2018. Leur style est un melting-pot de leur héritage kabyle et de sonorités modernes, inscrivant AmZik parmi les figures montantes de la nouvelle scène franco-algérienne.