Chapelier Fou + Léonie Pernet

CHAPELIER FOU

Depuis 2009, Chapelier Fou dévoile un univers fort et captivant, avec des compositions douces où les instruments se mélangent à des programmations électroniques. A une autre époque, on aurait dit tout simplement « electronica », pour qualifier cette rencontre de phrasés organiques et de rythmiques synthétiques, cette superposition d’atmosphères et de sentiments.

En presque dix ans, le multi instrumentiste originaire de Metz a imposé une signature singulière au fil de maxis et d’albums qui ont trouvé un bel écho auprès des médias comme du public. Pour accompagner toutes ces productions, Chapelier Fou a fait plusieurs tournées dans le monde entier (Europe, Russie, Chine, Amérique du Nord).

De plus, la musique de Chapelier Fou a rencontré d’autres univers artistiques : l’audiovisuel, lors de la participation du musicien à la série Les Contes du Paris Perché ; l’art numérique, avec le projet interactif Les Métamorphoses de Mr. Kalia imaginé avec le collectif d’artistes Lab212 et présenté au Barbican Centre à Londres ; ou encore l’art contemporain avec une commande du Centre Pompidou Metz pour illustrer l’exposition Musicircus à travers six temps forts, installations, performances et lives. L’artiste bricoleur est également souvent amené à pratiquer des actions pédagogiques et culturelles. Comme le projet d’expérimentations et d’apprentissage Le Végétaphone, créé dans le cadre d’une résidence scolaire avec la salle de musiques actuelles L’Antipode à Rennes.

Louis Warynski, de son vrai nom, revient sur scène à l’occasion de la sortie de son nouvel album « Muance » (sortie le 20/10/17 chez Ici, d’ailleurs…)

 

 

LÉONIE PERNET

Léonie Pernet force le respect.
A 28 ans à peine, cette jeune fille énergique a déjà eu plusieurs vies.
Touche à tout insatiable et multi-fonctions,  elle s’est adonnée aussi bien à l’organisation de soirées  (les célebres CORPS vs Machine), a sillonné le monde à la batterie pour son compatriote Yuksek, composé de la musique pour le cinéma (Bébé Tigre de Cyprien Vial en 2014, Marvin d’Anne Fontaine en 2017), avant de se jeter toute seule face au public et d’apprivoiser sa propre musique – première partie de Benjamin Clementine aux Transmusicales de Rennes [2013], Gesaffelstein à la Cigale, tournée du festival Les femmes s’en mêlent [2014], etc. La scène devient alors pour elle un espace d’expérimentation et de création.

En 2014 elle sort un premier EP sur le label KILL THE DJ. L’occasion de découvrir une autre facette de Léonie.
Celle d’un prodige, d’une musicienne instinctive et aventureuse qui compose des chansons sans format, sans couplet ni refrain, qui commencent comme des rêveries au piano ou au synthé et se terminent par une avalanche de batteries. Définir sa musique serait vain, ni pop, ni classique, ni électro, ni chanson. Tout ça à la fois et surtout un shoot d’émotion, une course effrénée dans les grands espaces de notre imaginaire.

Léonie vient de collaborer au nouvel album du duo SCRATCH MASSIVE  et sortira son premier album au printemps prochain.

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