ANISSA BENSALAH + DJAZIA SATOUR

Compte tenu de la météo annoncée, ce concert aura lieu au Tamanoir.

 

DANSER ENCORE – CONCERTS GRATUITS EN EXTÉRIEUR

Fort du succès des « Concerts sous les fenêtres » proposés l’été dernier, le Tamanoir récidive pendant trois semaines en juillet prochain dans le cadre de « L’été à deux pas d’ici » avec une nouvelle série de concerts qui animeront parcs et jardins de différents quartiers de la Ville de Gennevilliers.

Musiques du Monde actuel, hip hop, chansons, spectacles jeune public, seront au rendez-vous d’une programmation familiale, métissée et colorée qui vous mettra de bonne humeur. 
Des artistes d’ici et d’ailleurs, avec une forte représentation féminine mise à l’honneur, inviteront toutes les générations confondues, à danser à nouveau*, aux sons de leurs bonnes vibrations….
*dans le respect des « gestes barrières » et des protocoles sanitaires en vigueur.

En partenariat avec
Avec le soutien de la Ville de Gennevilliers, de la DRAC IDF, du RIF, de la Région Ile de France, du Département des Hauts de Seine, de la Sacem et du CNM.

MERCREDI 7 JUILLET
À PARTIR DE 18H – Gratuit 

initialement au PARC FATIMA  – rue Eugène Varlin à Gennevilliers  mais compte tenu de la météo annoncée, ce concert aura lieu au Tamanoir

ANISSA BENSALAH Fusion Arabo-Brésilienne

©Julie Oona

Riche de multiples origines, Anissa chante le portugais et l’arabe avec un coeur vaudou. Cette chanteuse algéro brésilienne née à Haïti met sa voix élégante au service d’une musique aux accents pop profonde et incroyablement singulière.

Accompagnée de 3 musiciens : Tim Campanella (Batterie), Donia Berriri (Piano & Claviers), Thomas Zoh  (Guitares & Machines), ce nouvel album est en gestation depuis septembre 2016. 

Rassemblés par la chanteuse algéro-brésilienne, les 3 instrumentistes sont issus du jazz, des musiques du monde et de la pop. Ils présentent une musique bien originale, qui s’inscrit dans les dernières mouvances de la scène pop-world-jazz. La chanteuse Anissá y chante en arabe et  en français, avec une sensibilité, une élégance et une inspiration « venue d’ailleurs ». 

Sur cet album, Anissá invite aussi une complice de longue date, la flutiste algérienne Amina Meezache, et le trompettiste américain Josiah Woodson (ex trompettiste de Beyoncé).

Sur scène, le groupe fera la part belle aux prouesses vocales d’Anissá, son intensité et sa sensibilité mais laissera aussi la place aux improvisation héritées autant du jazz que des musiques du monde. 

LA PRESSE EN PARLE

« Son timbre de voix chatoyant lui permet de passer avec un charme fou du portugais à l’arabe. Avec son premier album « Matriz », Anissa Bensalah dresse un panorama musicale avec beaucoup de personnalité  » Remy Kolpa Kopoul – Radio Nova

« Il n’est pas donné à tout le monde d’avoir une voix qui évoque une présence « physique » à la simple écoute d’un disque. Anissa est de ces artistes là ! » Louis- Julien Nicolaou – Les Inrocks

« Anissá chante le portugais et l’arabe avec un coeur vaudou. Cette chanteuse algéro brésilienne  née à Haïti mets ses origines et sa voix élégante au service d’une musique profonde et incroyablement singulière! » Anne Berthod – Telerama

 

DJAZIA SATOUR Pop du Monde

 

©Yannick Siegel

On reconnaît dans ses compositions les influences les plus actuelles, empruntées notamment à la folk indie et au groove d’une pop pétillante. L’inspiration s’infléchit cependant de façon marquée vers les genres traditionnels qui ont bercé ses premières années

Cette résurgence des modes musicaux et des rythmes algérois n’est pas seulement perceptible dans les accents mélodiques et les vocalises, tout en touches de sensibilité. Elle s’affirme dans la présence du banjo et du mandole qui font jaillir leurs sublimes étincelles dans les accords et les transitions instrumentales. Porté par ces deux ailes virevoltantes du chaâbi et soutenu à son paroxysme par le bendir, le chant prend de l’altitude et résonne comme un rappel lancinant des origines.

Les textes chantés en arabe évoquent, sur un ton à la fois intuitif et distancié, les thèmes de la dépossession, de l’exil, de l’errance en appelant à la mémoire et à l’amour qui avivent la nostalgie des lieux désertés et des gens disparus. Résonnent alors des voix qui répercutent le tumulte du monde.

Loin de céder aux tentations passéistes, ce nouvel album de Djazia Satour va chercher dans la tradition de nouvelles opportunités d’invention.

 

LA PRESSE EN PARLE

« Sa voix vous saisit, vous envoûte, l’artiste chante avec passion la dépossession de l’exil et de l’errance, l’amour au milieu des tumultes du monde. » FIP

« Un album mélodique et sensible » Afrique magazine

« La parole de l’exil et la magie du chant. Un retour aux sources inventif. » 20 minutes

« « Un concert lumineux » La Nouvelle République

« Un album très pop et oriental à la fois : un subtil mélange » TV5 Monde

« Grand coup de coeur pour Djazia Satour (…) : une très belle voix » Ouest France

« Djazia Satour (…) déroule ici de ravissantes balades et du swing à revendre » Télérama