Dj Click « Click Here » + Lazy Flow dans le cadre du festival Träce

Dj Click « Click Here » + Lazy Flow

Vendredi 06 Février 2014 – 20H30

Dans le cadre du festival Träce organisé par le réseau 92 (fédération des lieux « musiques actuelles » des Hauts-de-Seine)Web

Lazy Flow

lazyflowBatteur & percussionniste, Florent Cortesi alias Lazy Flow sort son 1er LP Moyo Moyo, un projet alliant cumbia et afrobeat, pop et baile funk, avec une touche de de bass music et d’electro.  Même si le terme « Musique World » n’a aucun sens (d’où pourrait venir la musique si ce n’est du monde?) MOYO MOYO, qui signifie coeur coeur en Swahili, est le premier album de LAZY FLOW représentant sa vision explosive et colorée de ce genre musical. Face au mariage des sons électroniques et acoustiques, il connecte les deux mondes, le folklore traditionnel avec une esthétique sonore urbaine et modernisée.

Ses prestations scéniques en compagnie de son nouveau groupe sont la garantie de passer une bonne soirée en club. Pour ce faire il sera accompagné, sur scène, de pas moins de 3 chanteurs apportant chacun sa couleur musicale, Philippe Aglaé (Soul/Gospel), Mo Laudi (Hip-Hop/Kwaito), Jean-Jacques Berthieu (Ragga/Afrobeat) et 2 musiciens Julian Getreau (Piano, Rhodes, Synthé) et Ludwig Nestor (Basse, Guitare).

 Click Here

Click Here live15Armé de son studio mobile, DjClick, Dj tout terrain, DA, producteur sur son label No Fridge, enchaîne les rencontres et les escales, imprimant les tempos d’une odyssée électrogypsy enfiévrée depuis les confins du Rajasthan jusqu’aux tablaos sévillans. Le timbre vibrant de Nadia Potinga joue le fil d’Ariane, guidant l’épopée de sa voix polyglotte au travers des paysages. Dans une ronde jubilatoire orchestrée par Tudorel Mihai et Viorel Potinga; l’âme Rom y affleure sans fard dans la fête ou la mélancolie. Comme un euphorisant « Latcho Drom » les danses et palmas de Karine Gonzalez referment cette fresque moderne aux origines antiques essaimant un joyeux folklore du 21ème siècle.

Click Here, équipage expérimenté marie les horas, le flamenco, le bouillonnement sanguin de musiques populaires ponctuées de soubresauts hip‐hop, techno voire new wave. Un voyage intense, une musique sans visa au cœur de la Tziganie et de ses trésors, arrosé par la puissance de feu des dance‐floors.